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La Déchronique du Déchronologue. Fragment XXIII

 

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Naufrage

 

Quand Villon sombre avec le vaisseau, quand le Déchronologue fusionne avec le George Washington et leurs états successifs dans le temps, quand le capitaine se dédouble, se démultiplie et réalise enfin son désir d'anéantissement dans le Corps sans Organes schizophrénique, quand le poids immense de sa culpabilité se disperse en myriades infinies, alors disparaissent comme par enchantement tempêtes temporelles, fusions, apocalypses terrestres, Targui et « ceux de Florès ». La mort, dans cet espace du moins, l'a délivré du mal.

 

Commentaires

  • Bon, je réponds avec retard, je sais.

    Mais je ne suis pas sûr d'avoir été aussi loin dans la prospective que toi :

    "quand le poids immense de sa culpabilité se disperse en myriades infinies, alors disparaissent comme par enchantement tempêtes temporelles, fusions, apocalypses terrestres, Targui et « ceux de Florès »."

    La porte est encore ouverte. Probable/possible certes que ces tempêtes vont se calmer, mais l'auteur n'est pas aussi affirmatif que toi.


    Bref, pas d'accord pour pousser l'analogie aussi loin. :-)


    David

  • Oh, je me contente de décrire ce que j'ai lu : le fait est qu'après la mort de Villon le calme revient... Et bien sûr, étant donnée mon interprétation du livre, cet apaisement final me paraissait fort logique.

  • Yep.
    C'est juste que je te trouve trop "définitif"...

    Quand j'ai reposé le livre, bien sûr l'ensemble formait un tout cohérent et complet.
    Mais pas une "histoire" complétement terminée.

    Ayant un franchi un cap important/primordial, oui. Ne nécessitant plus de nouveaux chapitres, oui.

    Mais pas une "fin de partie" aussi nette.

    (N.B : une trace d'humour s'est glissée dans ma phrase ci-dessus. Saurez-vous la déceler ???)

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