Ma déchronique du Déchronologue, le nouveau roman de Stéphane Beauverger, n'étant encore qu'une chronique, en cours de déconstruction donc, je vous propose de vous faire écouter l'intégralité des chansons citées en épigraphe en tête de chaque chapitre. Prévoir un bon stock de tafia.
« The Irish Rover » (épigraphe du roman), ambiance « on est tous pleins comme des outres »
« La complainte du partisan » (chapitre I, p. 17), ambiance « armée des ombres »
Waterboys, « Strange Boat » (chapitre XVI, p. 45), ambiance « écossais mélancoliques »
« Lady Franklin's Lament » (chapitre XVII, p. 59), ambiance « fond de cale »
« The Gallant poachers » (chapitre VI, p. 67), ambiance « taverne anglaise »
« The Moonshiner » (chapitre II, p. 83), ambiance « Monty Python's Lumber Jack Song »
The Coral, « The Spanish main » (chapitre VII, p. 99), ambiance « à l'abordage »
New Model Army, « Vengeance » (chapitre XXII, p. 113), ambiance « dirty bastards »
John Dowland, « Flow my Tears » (chapitre XI, p. 121), ambiance « on ferme les yeux et on pleure »
Bonnie Prince Billy, « Death to everyone » (chapitre XIX, p. 139), ambiance « dans la boue du Bayou »
Peadar Kearney, « The Foggy Dew » (chapitre XX, p. 157), ambiance « j'ai l'feu au kilt »
« Le forban » (chapitre IX, p. 169), ambiance « matelot imbibé »
« Jock Stewart » (chapitre XXIII, p. 191), ambiance « quatre heures du mat' au Rat-qui-Pette »
Belly, « Full moon, empty heart » (chapitre III, p. 201), ambiance « minauderie »
Bertold Brecht, « Seeräuber Jenny » (chapitre X, p. 213), ambiance « Lady Pirate en cabaret berlinois »
Johnny Cash, « Folsom Prison Blues » (chapitre IV, p. 233), ambiance « j'ai buté un mec à Reno juste pour le voir crever »
Patrick Pearse, « Oró, 'Sé do Beatha 'Bhaile » (chapitre VIII, p. 247), ambiance « bataille de Culloden »
Sigur Ros, « Viðrar vel til loftárása » (chapitre XII, p. 263), ambiance « un temps idéal pour une bataille navale »
Leonard Cohen, « Suzanne » (chapitre XV, p. 281), ambiance « Jésus à tribord »
Grant Lee Buffalo, « Fuzzy » (chapitre XXI, p. 293), ambiance « tout est confus dans ma tête »
Daniel Melingo, « Pequeño paria » (chapitre V, p. 307), ambiance « gaucho éraillé »
Bel Canto, « Dewy Fields » (chapitre XIII, p. 317), ambiance « je flotte comme une burbuja dans l'éther »
Angelo Branduardi, « Ballo in fa diesis minore » (chapitre XIV, p. 327), ambiance « rodomontades dans un pub napolitain »
Alela Diane, « The Pirate's Gospel » (chapitre XXIV, p. 341), ambiance « yo ho yo ho, pirates et champs de coton »
« Peggy Gordon » (chapitre XVIII, p. 349), ambiance « Celtes avinés »
Killing Joke, « Mathematics of chaos » (chapitre XXV, p. 379), ambiance « apocalypse »
Tom Waits, « No one knows I'm gone » (épilogue, p. 387), ambiance « générique de fin »