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Ingmar Bergman

  • Bergman, Antonioni, le lundi noir du cinéma

     

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    Il y a des jours comme ça. Ce lundi 30 juillet 2007 aura été fatal à deux immenses cinéastes, Ingmar Bergman donc et, nous l’apprenons aujourd’hui, Michelangelo Antonioni, auquel je pensais justement hier, avec tristesse. Blow up, La Notte , L’éclipse, Profession Reporter, Zabriskie Point, ou encore L’Avventura et Le désert rouge, ont profondément marqué l’histoire du cinéma moderne. J’ai souvent évoqué l’œuvre du cinéaste italien dans mon étude de Ténèbres de Dario Argento, par exemple ici, à propos des « espaces vides ». Contrairement à Bergman, qui jusqu’à la fin nous a offert de très grands films (En présence d’un clown, Saraband), le meilleur d’Antonioni était loin derrière lui : je n’ai pas vu son projet Eros, qui réunissait, en 2004, son propre moyen métrage, Le périlleux enchaînement des choses, et deux autres réalisés par Steven Soderbergh (Equilibre) et Wong Kar Wai ( La Main ), mais son précédent long métrage, Par-delà les nuages, coréalisé avec Wim Wenders, ne m’avait guère convaincu. Mais revoyez L’Avventura. Redécouvrez Le désert rouge. Et vous comprendrez.

  • Ingmar Bergman est mort

     

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    Le plus grand cinéaste de tous les temps, Ingmar Bergman, vient de mourir à l’âge de 89 ans dans sa maison de l’île de Farö. Son dernier (télé)film, Saraband, déjà évoqué ici et dont je reparlerai un jour, est un pur chef d’œuvre (lire ce beau texte de Juan Asensio). Je vais devoir me faire une raison : désormais, le plus grand cinéaste vivant est David Cronenberg.