Villon rêve de se dédoubler, de fusionner avec la terre entière, comme Mendoza à Santa Marta qui, avec l'absorption de champignons hallucinogènes, les teonanacátl, la « chair de Dieu » ou « champignon divin », ne cherche qu'à s'anéantir dans l'unité cosmique (cf. p. 298, Hoc est enim corpus meum, « en vérité ceci est mon corps »).